Le Roi se baigne, assis dans un bain laconien ; il est délivré de sa bile par Pharut.
On voit ici le Roi Duenech, nom qu'on donne au Vitriol vert : la matière à l'état brut, la matière au noir, le laiton qu'il faut blanchir. L'anagramme de son nom désigne l'endroit secret d'où on le tire.
Dans un balneum, c'est-à-dire dans un bain-marie, il prend un "bain de vapeur" qui le libérera de la "bile noire", les "déchets Sturniens".
Michael Maïer compare les cuissons métalliques aux cuissons qui s'opèrent dans le corps humain par le cœur, le foie et les veines. Par cette sudation, le Roi se débarrasse de sa mélancolie. Ce processus dure le temps qu'il faut "pour que la peau se fendille et prenne une couleur rouge".
Dans le four à réverbère on trouve une lampe à huile, indication sur le feu de lampe, Eau ou Mercure des Philosophes.
Le Mercure des Philosophes est le Soufre blanc (Corps dans la Tradition scholastique, Sel de Paracelse, Arsenic de Geber), c'est-à-dire la Lune dans l'un de ses quartiers. Ce Premier Mercure ne doit pas être confondu avec le Mercure commun, premier état du Mercure Philosophique avant que les Soufres n'y soient infusés. Et enfin, le Troisième Mercure, Philosophique ou animé, qui résulte de la mixion du Mercure commun et du Rébis, Androgyne où l'on devine les deux Soufres.
La mort de Duenech doit faire une opération de dépuration qui porte sur un Sel double, parmi lesquels le Verre.