« La vertu gît vaincue. »
Il s’agit de la vertu du soufre, ou de l’or des sages, lequel repose sous la pierre, attendant la décomposition complète de son corps périssable. Quant à la femme qui, sur la tombe, traduit ses regrets en gestes désordonnés, elle figure la mère métallique du soufre. C’est à elle qu’appartient le vocable singulier, gravé à l’envers sur la pierre qui recouvre son enfant, Taiacis, de manière à être lu en commençant par la fin : « Sic ai at, hélas ! ainsi du moins… (pourra-t-il renaître) », suprême espoir au fond de la suprême douleur.