« À moi le ciel ! »
Dessin effacé, sculpture au relief disparu. Seule, l’inscription subsiste, qui peut être interprétée comme une exclamation d’ardent enthousiasme, de joie exubérante, un cri d’orgueil, dira-t-on, d’Adepte en possession du Magistère, ou comme l’expression d’un espoir radieux dirigé vers la connaissance des choses célestes.