La Balance, dont les oscillations ramènent l'équilibre, est l'instrument réparateur des fautes commises. Toute action, tout sentiment, tout désir, influent sur son fléau qui se situe néanmoins au niveau du cœur ; il en résulte des accumulations équivalentes qui auront leur répercussion fatale en bien ou en mal. Toute phase de surexcitation active doit être compensée par une équivalence de passivité réparatrice. Le Niveau, représenté par le fléau de la Balance, affirme l'Égalité devant la Loi du Travail. Tout n'existe qu'en vue d'accomplir une fonction. Dans l'ordre universel, chacun est tenu de remplir sa tâche, car nous vivons pour travailler, non pour jouir gratuitement de la vie.