Le cadavre était ensuite porté par les prêtres jusque sur la Tour où on l'exposait sur le sol en pierre - évitant ainsi le contact avec la terre. En peu de temps, les vautours et les corneilles déchiquetaient le corps, livrant ainsi l'âme du défunt au vent. Les ossements étaient ensuite jetés dans un trou circulaire au centre de la Tour.
À partir de 1975, la coutume d'exposer les corps a été remplacée par l'inhumation et, depuis, les dépouilles mortelles des zoroastriens sont enterrées dans le cimetière aménagé à proximité des Tours. Pour empêcher toute contamination de la terre, les tombes sont tapissées d'une matière "inerte" comme le ciment.