Le Document Prichard de 1725 explicite clairement la notion d'un mot de substitution. Les versions françaises évoluées de 1744 à 1751 présentent l'ancien Mot de Maître, que l'on voit sur ce tapris de Loge, comme étant le "Nom Ineffable". Cet ancien nom, "Jehova" qui signifie "le feu central", était bien connu des Maîtres Maçons mais il n'était jamais utilisé dans le rituel. Ce nom n'est donc pas décrit comme perdu. Les Maîtres qui sont partis en perquisition ont simplement décidé d'adopter un "mot de substitution" de crainte que les assassins d'Hiram ne l'aient extorqué. On est donc en droit de penser que la "recherche de la Parole perdue", quête ultime de la Franc-maçonnerie, ne consiste peut-être pas seulement à retrouver l'ancien Mot de Maître...