Aujourd'hui, les eaux de l'Amou Darya affrontent des barrages et se font absorber par des quotas démentiels de coton, libérant enfin ce qui leur reste dans les bras agonisants d'une mer d'Aral empoisonnée. En 1970, la mer d'Aral avait déjà perdu 9/10ème de sa surface. Résultat : son taux de salinité a grimpé et des millions de poissons sont morts suite à l'assèchement.