La place qui sépare la médersa Mir-i-Arab de la mosquée Kalon ne résonne plus de nos jours que des pas feutrés des étudiants de la médersa et des bavardages des groupes de touristes étrangers. Il y a un quart de siècle à peine, il s'y tenait le marché au coton où se bousculaient les chameaux transportant des montagnes de tissus au milieu d'une foule bigarrée.