Le projet connaît un tel succès que l'UNESCO classe la zone Réserve de la biosphère en 1985. En 40 ans, les guajiros (paysans) ont abandonné le bohio (la cabane) en haut des montagnes pour vivre dans des maisons neuves. Ils voyagent sur des routes asphaltées, bénéficient d'un médecin de famille, d'un laboratoire médical, d'une pharmacie, de cafétérias, d'un centre récréatif et d'une école pour leurs enfants.