Le gouvernement iranien refusa car il s'était fixé de nouveaux objectifs : provoquer la chute du régime ba'assiste, faire admettre à la communauté internationale que c'était bien l'Iraq l'agresseur, obtenir la condamnation de Saddam Hussein en tant que criminel de guerre, percevoir des dommages de guerre en rapport avec les dommages subis et "libérer" Kerbala et Najaf, les deux villes saintes de l'islam shi'ite situées en territoire irakien.