L'entretien des terrasses et jardins semble s'interrompre dès la disparition d'Oswald Siffait, le 16 avril 1877. Avec le temps, le développement de la couverture arborée modifie fortement le caractère minéral initial du parc. Une véritable voûte végétale favorise l'apparition des mousses et des lichens sur les murs tombant en ruine. Le site devient alors beaucoup plus discret et finit par acquérir les caractéristiques mêmes d'un jardin romantique, jardin de sentiment, de l'illusion et de l'imaginaire.