En 1937, un voyageur étranger, Gustav Krist, décrivait la beauté intemporelle de ce lieu où la foule se rassemblait le soir pour se détendre, boire du thé, écouter les conteurs et les chanteurs, admirer les danseurs, les jongleurs ou les charmeurs de serpents, "une oasis de paix sur laquelle les Soviétiques n'avaient, écrivait-il, aucune prise."