Au-dessous des grandes scènes de batailles ou de réceptions à la cour Safavide, se trouvent des fresques plus petites, semblables aux miniatures persanes de par leur style et leurs sujets. Recouvertes de plâtre à l'époque Qâdjâr, ces scènes galantes ont fait l'objet d'une restauration minutieuse. Le vin est omniprésent, partout des carafes et le précieux nectar remplit les verres. Le poète persan Hâfez pensait que le vin était un des fleuves du Pardis, le paradis réservé aux pieux musulmans. Sous Shâh Abbâs, ce précepte était encore appliqué.