Cinq ans à creuser le tuffeau, à modeler des formes pour que le corps des visiteurs épouse les volumes et que la terre devienne charnelle.
La surface des parois de ce labyrinthe est criblée de petits trous, qui correspondent à des silhouettes anthropomorphiques, mais aussi de signes cubiques, carrés et ronds qui créent un mystérieux langage auquel succombe très vite le visiteur.