L'entrée, telle un grand vase tourné vers le ciel, est habitée par une foule de formes humano-reptiliennes et géométriques. Un dédale où la bosse est préférée au creux, où écailles, rainures, bulles et vagues sont autant sculpture que jardin pétrifié.
Le visiteur ressent toutes sortes d'émotions au contact de ce monde onirique. Il est invité à s'asseoir, à se coucher, à se rouler, à manger sur les formes convexes. "Le corps épouse les alvéoles, se love à l'intérieur comme un fœtus dans son ventre." Le rêve du sculpteur est devenu réalité.