À la fin du XIXe siècle, les émirs de Boukhara passaient en fait peu de temps dans leur résidence officielle de l'Ark, mais ils se partageaient plutôt entre leurs quartier d'hiver de Chakhrisabz, leur palais d'été de Chirgaron (aujourd'hui détruit) dans les faubourgs de la ville et leur havre de sûreté de Karmana.