Ahmad Nâd'aliyân continue à fréquenter son ancienne demeure et revient y vivre quelques semaines durant les mois d'automne et d'hiver pour y réaliser de nouvelles œuvres en solo et en coopération avec les femmes locales habitant Hormuz. Les paysages de l'île et ses terres multicolores, qu'il a soigneusement récoltées dans de petits flacons, restent ainsi pour lui une source unique d'inspiration.