L'âme du défunt reste trois jours dans la tour. Le quatrième jour, elle la quitte, mais elle doit alors franchir un pont. À ce stade, se produit une manière de jugement : l'âme du juste franchit le pont et accède à la Maison des Chants, tandis que celle du méchant tombe dans la Maison du Druj. Cependant, toutes les âmes jouiront de l'instauration d'un paradis terrestre consécutive à la victoire d'Ahura Mazdâ sur l'Esprit du Mal. Il s'agit d'une résurrection différant de celle des chrétiens. La Maison du Druj des zoroastriens est donc plutôt un purgatoire où l'on attend sa résurrection.