La disposition des lieux obéit à une logique naturelle - éviter les inondations lors des crues de la rivière - et sécuritaire - se protéger des incursions des maraudeurs.
Le bois, disponible en abondance jusqu'au milieu du XXe siècle, a permis de s'offrir une débauche de piliers, d'escaliers, de balcons et de terrasses aux lignes audacieuses.