Alors les nations subissent le jugement. D'un côté les justes, de l'autre les mauvais, croit-on généralement. Pourtant, l'interprétation ésotérique du texte mène à penser qu'il s'agit de la purification ultime, en un seul être, de ses tendances contradictoires. Car nul n'est totalement bon ni complètement mauvais.
Ainsi, ce ne sont pas les mauvais et les bons qui seront jugés, mais ce qu'il y a de bon et de mauvais en chacun qui doit être pesé. Dans les mystères Égyptiens, la pesée des âmes se faisait par rapport à l'emblème de Maât (la plume), la déesse de la Vérité. Gare à celui qui ne faisait pas le poids !
Résurrection et Jugement dernier annoncent la Jérusalem nouvelle et le triomphe du bien et de Dieu.