Le prêcheur entonne à son tour les chants funèbres. Il fait revivre les scènes du drame dans un arabe dialectal poétique, quasi chanté, entrecoupé de poésies en arabe classique. Il insiste sur les points sensibles qui émeuvent l'auditoire : la force des liens familiaux et l'exemplarité des qualités morales face à la cruauté des ennemis, l'aspect désespéré, inéluctable de la situation, etc.